Série de photographies en négatif. Format numérique.
29 Juillet 2018
« L'intime mémoire chez Rachel Whiteread : une chambre à soi »
Voir l'article« Le faire-bibliothèque chez Alberto Manguel : pour une méthodologie de lecture spatialisante et plastique », Colloque international « Alberto Manguel : écrivain-lecteur », 21-22 -23 octobre 2020, Poitiers. »
“N’est-il pas des enfants qui quittent le jeu pour aller s’ennuyer dans un coin du grenier. Grenier de mes ennuis, que de fois je t’ai regretté quand la vie multiple me faisait perdre le germe de toute liberté.”
Cette expérimentation photographique ouvre la voie à des réflexions sur les poétiques émancipatrices de l’espace (depuis G. Bachelard). Les analyses formalisées autour du travail de Rachel Whiteread (à l’occasion des journées d’étude “La chambre et les arts, l’intime au défi”, février 2020, organisées par Marie Escorne et Myriam Metayer) poursuivent les interrogations plastiquement posées. En octobre 2020, ma participation au colloque international “Alberto Manguel : écrivain-lecteur” confirme mon intérêt pour les méthodologies spatialisantes de travail et de lecture (tant d’un point de vue épistémologique que pédagogique).